OPiCitations
réflexion
Ce qui ne tolère pas la plaisanterie supporte mal la réflexion.
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Croire à la philosophie est signe de bonne santé. Ce qui ne l’est pas c’est se mettre à penser.
réflexion
Dans l’union de la pensée et des rêves, c’est toujours la pensée qui est déformée et vaincue.
réflexion
Écoutez beaucoup, afin de diminuer vos doutes ; soyez attentif à ce que vous dites, afin de ne rien dire de superflu ; alors, vous commettrez rarement des fautes.
réflexion
Et si on n’a pas conscience d’avoir une pensée, est-il légitime de dire qu’on pense ?
réflexion
Hasard donne les pensées, et hasard les ôte. Point d’art pour conserver ni pour acquérir. Pensée échappée. Je la voulais écrire ; j’écris, au lieu, qu’elle m’est échappée…
réflexion
Il se regarde dans un miroir et il croit qu’il réfléchit.
réflexion
Il vaut mieux ne pas réfléchir du tout que ne pas réfléchir assez.
réflexion
Je m’affalai contre le dossier et me décontractai, laissant mon cerveau travailler – mais sans le bousculer. Demande trop d’effort à ton crâne et il va claquer comme un standard surchargé, ou bien il va te couillonner et tout saboter…
réflexion
Lorsque tu réfléchis, pense à autre chose.
réflexion
Mais le pire ce sont les pensées petites. En vérité, mieux vaut encore avoir fait du mal que d’avoir pensé petit !
réflexion
Mentat : classe de citoyens de l’Imperium formés à la logique la plus poussée. Appelés « ordinateurs humains ».
réflexion
Nous sommes les seuls chez qui la réflexion n’inhibe pas l’action.
réflexion
Penser, c’est mener une vie de penseur.
réflexion
Penser est une des plus dangereuses maladies du monde, et on en meurt comme de toute autre maladie.
réflexion
Rien ne sert de penser, faut réfléchir avant.
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Une constatation que je peux vérifier, à mon grand regret, à chaque instant : seuls sont heureux ceux qui ne pensent jamais, autrement dit ceux qui ne pensent que le strict minimum nécessaire pour vivre. La vraie pensée ressemble, elle, à un démon qui trouble les sources de la vie, ou bien à une maladie qui en affecte les racines mêmes. Penser à tout moment, se poser des problèmes capitaux à tout bout de champ et éprouver un doute permanent quant à son destin, être fatigué de vivre, épuisé par ses pensées et par sa propre existence au-delà de toute limite, laisser derrière soi une traînée de sang et de fumée comme symbole du drame et de la mort de son être – c’est être malheureux au point que le problème de la pensée vous donne envie de vomir et que la réflexion vous apparaît comme une damnation. Trop de choses sont à regretter. Ainsi, je me demande si ce monde mérite réellement mon regret.