OPiCitations
amour
Aime-moi comme je t’aime, ô mon doux ange adoré. Finissons et commençons ainsi toutes nos années ici-bas, et tous nos siècles là-haut.
amour
Aimer, c’est permettre d’abuser.
amour
Aimer, c’est se surpasser.
amour
Aimer une femme, c’est surestimer la différence qui existe entre une femme et une autre.
amour
ALICANTE
Une orange sur la tableTa robe sur le tapisEt toi dans mon litDoux présent du présentFraîcheur de la nuitChaleur de ma vie.
Une orange sur la tableTa robe sur le tapisEt toi dans mon litDoux présent du présentFraîcheur de la nuitChaleur de ma vie.
amour
Celui qui promet de bonne foi un éternel amour et celui qui croit à de pareils serments sont également dupes. L’un de son cœur et l’autre de sa vanité.
amour
Ce n’est pas l’amour qu’il fallait peindre aveugle, c’est l’amour-propre.
amour
Ce n’est pas que mon corps automnal refusât de servir, mais il me parlait de plus en plus de moi-même et de moins en moins de Laura.
amour
Ce qui se fait par amour se fait toujours par-delà le bien et le mal.
amour
[…] chaque seconde semblait mêler l’éternel à l’éphémère et Ann sourit à ce regard un peu triste, si attentif, qui l’apprenait par cœur.
— Chaque fois que tu me regardes, on dirait que tu fais des provisions. Habillons-nous. Sortons. Il fait si beau dehors.
— Partout.
— Quoi ?
— Il fait beau partout. Dehors. Dedans. Partout.
— Chaque fois que tu me regardes, on dirait que tu fais des provisions. Habillons-nous. Sortons. Il fait si beau dehors.
— Partout.
— Quoi ?
— Il fait beau partout. Dehors. Dedans. Partout.
amour
Elle n’avait pas osé ajouter « je t’aime », ce qui prouvait que déjà elle l’aimait.
amour
En amour, il est plus facile de renoncer à un sentiment que de perdre une habitude.
amour
En amour, il importe seulement de ne pas paraître plus sot qu’on ne le devient.
amour
Évidemment, je t’en veux ; si je ne t’aimais pas, je serais tellement heureux avec toi !
amour
Il en est du véritable amour comme de l’apparition des esprits : tout le monde en parle, mais peu de gens en ont vu.
amour
Il n’y a pas d’amour plus sincère que celui de la nourriture.
amour
Il y a l’amour… peut-être. C’est une solution, une solution à un problème qui reste un problème. Alors… Rien. Une solution… Un problème… Par quoi commencer ? On donne et on te prend. Celui qui prend a l’impression qu’il donne. Arrange-toi avec ça, si tu peux. Il y a derrière les yeux des gens, une cité privée où n’entre personne. Une cité avec tout le confort d’imagination possible. Les gens que tu vois chez toi, sont d’abord chez eux. Ils ne te voient pas. Ils se singularisent dans l’immédiate et toujours constante défense de soi. Ils ont peur. Ils sont terribles, les gens. Ceux que tu appelles tes amis, ce sont d’abord des gens remplis du moi qui les tient en laisse. L’homme est un "self made dog". Mais il parle au centre du monde, et le monde, c’est lui. Il transpire, il a une queue mais ne sourit pas avec, comme le chien. C’est tout et c’est trop. L’amitié, c’est comme le ciment armé : on ne sait pas comment ça vieillit. J’aime les vieilles pierres. Elles ne transpirent pas.
Ni dieu, ni maître, ni femme, ni amis, ni rien, ni moi, ni eux et BASTA !
Ni dieu, ni maître, ni femme, ni amis, ni rien, ni moi, ni eux et BASTA !
amour
J’ai surpris ma maîtresse avec son mari, pouah !
amour
J’avais sauté du haut d’une falaise, et puis, juste au moment où j’allais m’écraser en bas, il s’est passé un événement extraordinaire : j’ai appris que des gens m’aimaient. […] Quelque chose que je définis comme l’amour. C’est la seule force qui peut stopper un homme dans sa chute, la seule qui soit assez puissante pour nier les lois de la gravité.
amour
Je me demandais comment j’avais pu vivre avant si longtemps sans la connaître, vivre dans l’ignorance. Dès que je la quittais elle grandissait à vue d’œil. Je marchais dans la rue et je souriais à tout le monde, tellement je la voyais partout. Je sais bien que tout le monde crève d’amour car c’est ce qui manque le plus, mais moi j’avais fini de crever et je commençais à vivre.
amour
Je ne connais qu’un seul devoir, et c’est celui d’aimer.
amour
Je suis d’avis qu’il ne faut jamais rater une occasion de déclarer son amour à une femme, même si l’on doit se passer de grands discours et emprunter des voies détournées, car même si vous ne savez pas pourquoi, soyez certain qu’elle le mérite.
amour
Je t’aime ; est-ce que cela te regarde ?
amour
Je te déteste beaucoup trop – ce n’est pas normal – je dois t’aimer encore.
amour
Je voudrais ciseler minutieusement mon futur sur les paumes délicates de tes mains aériennes, mêler harmonieusement ma ligne de chance à ta ligne de cœur, construire une ligne de vïe peu commune, y lire notre bonheur…
amour
La mort seule peut sauver de la mort.
L’amour est une mort, il en tire vaillance.
L’amour peut combler la plus profonde tombe.
L’amour aime encore au-dessous de la vague.
L’amour est une mort, il en tire vaillance.
L’amour peut combler la plus profonde tombe.
L’amour aime encore au-dessous de la vague.
amour
L’amour c’est donner ce qu’on n’a pas à quelqu’un qui n’en veut pas.
amour
L’amour d’un homme n’occupe qu’une partie de sa vie d’homme : l’amour d’une femme occupe toute son existence.
amour
L’amour est la plus noire des pestes et on n’en meurt même pas.
amour
L’amour est la sagesse du fou et la folie du sage.
amour
L’amour est seulement un mot qui chante mieux que les autres.
amour
L’amour existe d’autant plus que son objet imaginé existe moins. Et par conséquence, l’absence de l’objet réel l’augmente.
amour
L’amour le plus exclusif pour une personne est toujours l’amour d’autre chose.
amour
L’amour n’est peut-être que la reconnaissance du plaisir.
amour
L’amour tue l’intelligence. Le cerveau fait sablier avec le cœur. L’un ne se remplit que pour vider l’autre.
amour
La racine de la vie est la femme qu’on aime.
amour
La vie est une cerise
La mort est un noyau
L’amour un cerisier.
Chanson du mois de mai
La mort est un noyau
L’amour un cerisier.
Chanson du mois de mai
amour
Le cœur a ses raisons que la raison ne connaît point.
amour
les poèmes d’amour étaient là bien avant l’œuvre des poètes.
amour
Moindre mon espoir, plus grand mon amour.
amour
N’aimer guère en amour est la meilleure façon d’être aimé.
amour
Ne m’appelle pas. Ne dis pas mon nom : on croirait que nous sommes deux.
amour
Offrir l’amitié à qui veut l’amour, c’est donner du pain à qui meurt de soif.
amour
On n’aime plus personne quand on aime.
amour
On n’est jamais si amoureux qu’on croit l’être.
amour
Quand on est aimé, on ne doute de rien, quand on aime, on doute de tout.
amour
Quand on est amoureux, on sait que l’amour est un mendiant, qu’il a moins de pudeur encore qu’un mendiant.
amour
Rien ne naît que d’amour et rien ne se fait que d’amour ; seulement il faut tâcher de connaître les différents étages de l’amour.
amour
Si la musique est l’aliment d’Amour, jouez encore.
amour
Si l’on juge de l’amour par la plupart de ses effets, il ressemble plus à la haine qu’à l’amitié.
amour
Tant de drames de l’amour ne sont que des accidents d’amour-propre.
amour
Ton cœur de rubisj’peux même pas le fourguerY a pas d’receleurpour l’amour volé.Cœur de rubis
amour
Tous les spécialistes de la passion nous l’apprennent, il n’y a d’amour éternel que contrarié.
amour
— Tu peux me quitter n’importe quand, je ne dirai rien, je te suivrai partout, je veux que tu te sentes libre. Naturellement, si tu tombes amoureux d’une autre femmes, il faut que tu me le dises, je n’avalerai pas un tube de somnifère, ce serait du chantage, j’irai seulement voir si elle est belle et puis je me coucherai vêtue de ma robe de mariée et je mourrai de vêpres siciliennes…
— Les vêpres siciliennes sont un opéra.
— … Mais ça sonne comme une maladie avec des plaques rouges et des vomissements. Monsieur, te dira le médecin, votre amie est atteinte de vêpres siciliennes, ça ne pardonne pas. Et toi, vêtu d’un habit et revenant d’une nuit d’amour, tu jetteras ton violon à tes pieds et tu t’écrouleras en sanglotant…
— Mon violon ? Pourquoi aurais-je un violon ?
— Il faut de la musique à un moment aussi triste.
— Tu as une imagination tropicale.
— On dit : baroque. Tous les romans et tous les films en Amérique du Sud sont baroques, en ce moment. Nous avons une très belle littérature et maintenant tu en fais partie. Je t’ai déjà écrit une dizaine de lettres que j’ai envoyées à mes amies à Rio pour qu’elles rêvent de toi. Tu vas être un amant légendaire au Brésil. J’ai des relations, tu sais. Je suis folle ?
— Non, Laura. Mais chez nous les enfants s’arrêtent de rêver beaucoup plus tôt, parce que notre lumière et nos champs ont le goût de la mesure. Nous manquons d’Amazonie.
— Ce n’est pas vrai, vous avez Victor Hugo.
Tu effleures mes lèvres du bout des doigts, souris, appuies ta tête contre ma joue et mon cou, et il doit y avoir d’autres façons de vivre, il faut que je me renseigne. De lent voiliers glissent vers des rivages paisibles et je guette leur douce et chaude navigation dans mes veines. Jamais mes bras ne se sentent plus forts que lorsqu’ils crèvent de tendresse autour de tes épaules. Il y a un monde, dit-on derrière les rideaux, une autre vie, dehors, mais c’est de la science-fiction. Le flot de minutes fait un détour et s’en va grignoter ailleurs.
— Laura…
— Oui ? Demandes-moi, c’est le moment, je connais maintenant la réponse à tout…
— Rien… Je voulais seulement prononcer ton nom.
Je n’ai jamais été un homme de plaisir mais un homme de sanctuaire. Lorsque je te serre très fort dans mes bras, ton corps me donne aide et protection. La vie attend pour me reprendre dans ses tourments que je cesse d’être intouchable. Il y a autour de nous comme une chrétienté enfin accomplie de tendresse, de pardon et de justice rendu, et ensuite, lorsque nos souffles se séparent et qu’il faut recommencé à vivre coupés en deux, il reste la connaissance heureuse du sanctuaire et une œuvre immatérielle faite de certitude de retour.
— Les vêpres siciliennes sont un opéra.
— … Mais ça sonne comme une maladie avec des plaques rouges et des vomissements. Monsieur, te dira le médecin, votre amie est atteinte de vêpres siciliennes, ça ne pardonne pas. Et toi, vêtu d’un habit et revenant d’une nuit d’amour, tu jetteras ton violon à tes pieds et tu t’écrouleras en sanglotant…
— Mon violon ? Pourquoi aurais-je un violon ?
— Il faut de la musique à un moment aussi triste.
— Tu as une imagination tropicale.
— On dit : baroque. Tous les romans et tous les films en Amérique du Sud sont baroques, en ce moment. Nous avons une très belle littérature et maintenant tu en fais partie. Je t’ai déjà écrit une dizaine de lettres que j’ai envoyées à mes amies à Rio pour qu’elles rêvent de toi. Tu vas être un amant légendaire au Brésil. J’ai des relations, tu sais. Je suis folle ?
— Non, Laura. Mais chez nous les enfants s’arrêtent de rêver beaucoup plus tôt, parce que notre lumière et nos champs ont le goût de la mesure. Nous manquons d’Amazonie.
— Ce n’est pas vrai, vous avez Victor Hugo.
Tu effleures mes lèvres du bout des doigts, souris, appuies ta tête contre ma joue et mon cou, et il doit y avoir d’autres façons de vivre, il faut que je me renseigne. De lent voiliers glissent vers des rivages paisibles et je guette leur douce et chaude navigation dans mes veines. Jamais mes bras ne se sentent plus forts que lorsqu’ils crèvent de tendresse autour de tes épaules. Il y a un monde, dit-on derrière les rideaux, une autre vie, dehors, mais c’est de la science-fiction. Le flot de minutes fait un détour et s’en va grignoter ailleurs.
— Laura…
— Oui ? Demandes-moi, c’est le moment, je connais maintenant la réponse à tout…
— Rien… Je voulais seulement prononcer ton nom.
Je n’ai jamais été un homme de plaisir mais un homme de sanctuaire. Lorsque je te serre très fort dans mes bras, ton corps me donne aide et protection. La vie attend pour me reprendre dans ses tourments que je cesse d’être intouchable. Il y a autour de nous comme une chrétienté enfin accomplie de tendresse, de pardon et de justice rendu, et ensuite, lorsque nos souffles se séparent et qu’il faut recommencé à vivre coupés en deux, il reste la connaissance heureuse du sanctuaire et une œuvre immatérielle faite de certitude de retour.
amour
Un amoureux sera moins heureux de causer de l’amour avec Stendhal que de sa maîtresse avec son porteur d’eau.
amour
Une nuit d’amour, un roman de moins.
amour
— Un geste d’amour, c’est toujours beaucoup plus qu’un geste.
amour
Viens plus près. Oui, je sais que tu ne peux pas : viens plus près quand même. Encore plus près… Là. Ça ne fait rien : on respirera après. Comme ça.
amour
Vous l’aimez, mon petit Willie, et elle ne vous aime pas. C’est d’ailleurs ça, le grand amour : quand on est seul à aimer. Lorsqu’on s’entr’aime, c’est coupé en deux, ça ne pèse plus rien. Les gens qui s’entr’aiment ne connaissent rien à l’amour.
amour-propre
Rien de plus sale que l’amour-propre.