Quoi encore ? J’ai un ami, Charles, mon ancien camarade d’école. J’en parlerai. Les cubes et les roues m’ont mené moins loin que lui. J’ai lâché tout. Pour être libre, j’ai déchargé les bateaux sur les quais. Un sac sur le dos, une planche sous mes pieds, l’eau dans le bas et dans ma tête la poutre de Montaigne : le plein vertige. Je suis rentré à la maison, peu fier. Papa m’a dit :
— Fini de rire.
Voilà ! C’est avec ces mots comme viatique, que j’entrai dans la vie réelle.