Qu’il vienne de l’intellect ou du bas-ventre, un plaisir en vaut un autre. Mais le sexe a ceci de particulier qu’il agite l’individu pour le profit de l’espèce. Nous nous bouchons les oreilles pour ne pas entendre sous nos discours amoureux, dans nos romances les plus raffinées, comme une basse cantique, le mugissement de la Vie qui réclame son dû.
Dans le coït, l’homme se rabaisse au niveau de l’animal non parce qu’il prend du plaisir mais parce qu’il obéit à l’instinct de reproduction.