« Je ne parle pas, poursuivit Bijaz. Je manipule une machine appelée langage. Elle grince et grogne, mais elle est à moi. »
Un jouet tleilaxu, cultivé et vif, se dit Paul. Jamais le Bene Tleilax ne se serait passé de quelque chose d’aussi précieux.
Il observa le nain, soutint le regard de ses yeux ronds.
« Quels autres talents as-tu, Bijaz ? » demanda-t-il.
« Je sais à quel moment il nous faut partir. C’est un talent que bien peu d’hommes possèdent. Il y a un temps pour les fins… et c’est un bon commencement. Alors commençons par partir, Usul. »